Grosse fatigue, coup de
panique, problème de connexion ou de timing il arrive qu’on ne soit pas
toujours dans la même disposition d’esprit que son chéri au lit. Faut-il
masquer un brin la vérité, ou, au contraire, clairement l’exposer ?
PARTIE 2/2
Épuisée par la journée
passée, stresser par une mauvaise nouvelle à laquelle on ne s’attendait pas ou
tout simplement la tête ailleurs, on ne sent pas tellement de faire des galipettes
avec Baby c’est pas le bol, par ce que lui se mettrait presque à genoux pour un
tête à tête sexy !
Option » je
bluffe» : lorsqu’on y réfléchit à deux fois et qu’on y tire un trait sur
nos pensées négatives, on peut aussi voir ses ébats comme un top moyen de tout
oublier. Une bonne occasion de faire un break avec le quotidien qui nous
étouffe, en somme tous les experts s’accordent à le dire : l’amour
physique a le pouvoir de donner la pêche et de se changer les idées. Tant qu’on
se laisse aller…
Je joue franc jeu : Quand nos problèmes
sérieux nous minent, ou une grosse tuile vient de nous tomber sur le coin sur
le nez, là on à d’avantage envie de se réfugier dans les bras de chéries pour
un moment câlin que de batifoler, ambiance débridée !
On n’est pas sur le même
tempo sexo :
On est là tout les deux à faire gémir le
matelas et tout se passe pour le mieux jusqu’à ce qu’on se rend compte qu’il
est sur le point de craquer alors que nous, on est loin du nirvana.
Option » je
bluffe» : On
peut se le permettre quand arriver au top du plaisir, ensemble ne constitue pas
un enjeu majeur, une perf atomique qu’on doit à chaque fois renouveler. Si vous
ne terminez pas collée au plafond en même temps que votre amoureux, une fois de
temps en temps dites vous que vous pouvez prendre aussi un plaisir dément grâce
aux caresses qu’il vous prodiguera. Avant ou après qu’il est disjoncté !
Je joue franc jeu : Quand c’est le même topo
à chaque fois et qu’il y a comme un gros problème de sensibilité entre nous, ou
que monsieur est scotché sur ses sensations sans se soucier de celles de sa
conjointe. Voyons la vérité en face ça ne peut pas durer !
Je pensais que ça le ferait mais d’un coup je me sens dépassée…
Ce
plan torride avec lui, on en rêvait depuis des nuits, et voilà que quand le
fantasme devient réalité, on se trouve bloquée sans comprendre pourquoi…
Option » je bluffe» : Quand la panne nous laisse un peu perplexe sans nous chambouler
totalement, dans ce cas, on calme le jeu de nos péripéties amoureux pour mieux
s’aiguiller sur de nouvelles vibes, reprendre le contrôle de nos envies et de
notre body. On ne demande pas à chéri de nous toucher là, du bout du doigt, ou
de nous donné des coups de langue ici, si c’est ce qui nous plait et nous
permet de redémarrer !
Je joue franc jeu : Quand ça fait mal dans
la tête ou physiquement, c’est le pire moyen de se fâcher avec son corps et sa
sexualité ! Donc, on dit stop pour mieux repasser, plus tard, en mode
décontracté. On à toutes, un jour ou
l’autre, ce genre de blanc aussi inattendu qu’inexpliqué.
Ses fantasmes et les miens, ça fait deux !
Canon,
hilarant et brillant en même temps : c’est la perfection faite mec, pour
un peu on se pincerait, jusqu’à ce qu’on se rend compte, dans l’intimité qu’on
n’a pas les mêmes fantaisies que lui. C’est ça son vice caché ?
Option ‘ je bluffe’: Quand,
après en avoir parlé à deux, trois copines de cofinance ultime, on se rend
compte que ses projection un peut hot n’ont rien de déglinguées. C’est vrai que
cette manie, qu’il a chaque fois, de nous de nous murmurer des trucs un peut
gonflés ou de vouloir coute que coute nous faire un cunnilingus, ça peut nous étonne.
mais plus vite qu’on ne le pense, il n’est pas impossible qu’on se surprennent
à aimer !
Je joue franc jeu : Quand il nous met plus mal
alaise qu’autre chose, qu’il se faire des délires limite porno ou trash et il se fiche, malgré nos objections, que ça puisse nous choquer. Même s’il a la
belle gueule de Rob patterson, le Body de jesse Metcalfe et le cerveau d’Albert Einstein, on se dépêche
de l’oublier !
Si je ne simule pas il va me prendre pour une fille coincée
A
en croire la couverture de certains magasine masculins, il faudrait etre une
grenade prete à dégoupiller quand on est avec eux, sauf qu’on n’a pas toute la
motivation, ou la mentalité, pour se lâcher sans modération !
Option’ je bluffe’ : à
priori, si c’est pour faire bien voir le chéri vaut mieux éviter vous n’êtes
pas en mesure d’endosser le rôle de la star du X pour être en osmose sensuelle
avec lui !Seul exceptions à la règle : vous avez envie de vous
laisser aller mais vous n’oser pas. Dans ce cas là il n’est même plus question
de simuler, mais de vous déverrouiller : exprimez-vous sans crainte et
sans vous censurer !
Je joue franc jeu : Pour éviter à plus ou moins
long terme, de mettre de l’huile sur le feu dans votre vie sexy. Votre mec si
vous faites semblant et à moins qu’il vous prend pour une poupée gonflable, va
vite se rendre compte que vous le faire baladez. Grace à son orgueil blessé !
En plus, les garçons ne cherchent pas tous à mettre une tigresse dans leur lit,
il y en a même que çà bloque complètement.
Il va beaucoup trop vite pour moi…
Il
est franchement pressé il est même beaucoup trop insistant au lit ou quand il
s’agit d’y aller, ou alors il zappe les préliminaires, on fait quoi ?
Option ‘je bluffe’ : En
le prenant à son propre jeu d’habitude, c’est pas du tout son genre, mais là,
l’envie de le faire lui vaudra presque d’exploser sa braguette ? plutôt
que de docilement se faire mener sans sentir quoi que se soit, on décide de se
prendre au jeu de quicky (technique qui consiste à aller droit au but sans trop
passer par la case caresse ou câlins) en lui mordant la bouche ou en se
montrant beaucoup plus sauvage qu’il ne l’est, inattendu et excitant !
Je joue franc jeu : Quand
c’est tout le temps comme ça, avec lui, il faut se rendre à l’évidence :
ce mec manie son joujou extra comme un marteau-piqueur ou comme une mitraillette,
et çà ne nous convient pas du tout. Zéro sensualité super limite question
respect vu qu’on lui a déjà expliqué plusieurs fois qu’il mettait le turbo trop
vite, Retrouvons vite un rythme normale avec un lover beaucoup plus hot !
Je le connais à peine
On
a eu le flash pour lui mais au moment de se trouver nue dans ses bras, on est
soudain assaillie par un affreux doute et une kyrielle de question :
va-t-on lui plaire ? Faut-il gruger un peu pour forcer le destin ?
Option ‘je bluffe’ : Pourquoi
pas mais sans faire dans la déraison. Les premières fois avec un mec, c’est
toujours un peu délicat : on doit apprendre à se connaitre, décoder ce que
l’autre aime ou n’aime pas au gré de ses frémissements et de ses soupirs de
plaisir. Donc on s’autorise à gémir doucement ou à se crisper de contentement
dès qu’il frôle une de nos zones érogènes, pour insister à y s’attarder. On ne
parle pas de pipeauter mais plutôt de le guider subtilement !
Je joue franc jeu :Si on se rend compte que
tout est trop speed et qu’on a besoin de temps pour apprivoiser l’idée qu’on
est avec lui, on est pas obligée de se recroqueviller comme un escargot dans sa
coquille, mais on a pas non plus à être
hyper démonstrative, si on a dans l’esprit de calmer le jeu.
C’est moi qui l’ai emballé
On
était d’humeur mutine, on s’est amusée ale pousser dans les derniers
retranchements du sexy sans se douter qu’on ne ferait plus franchement sa
maligne quand on se retrouverait au lit à ses cotés. Peut être mais qu’on était
loin de se douter que, tout les deux, on finirait en position allongée !
Option ‘je bluffe’ : On
continue de jouer la carte de l’humour, pour lui faire comprendre qu’on n’ira
pas jusqu’au bout, et qu’on préfère s’en tenir à la limite des câlins poussés.
On mixe ainsi latitude sexuelle et le coté très carré de la grande fille qui
préfère ne pas basculer trop vite avec un nouveau venu. Après tout s’il s’agit
d’aller plus loin, n’y a pas le feu au matelas.
Je joue franc jeu : S’il s’imagine que c’est
par ce qu’on s’est montrer un peu extravertie plus tôt dans la soirée, qu’on
est prête à tout, On lui explique fermement (mais calmement, si non on
risquerait de passer pour une harpie qui ne sait pas ce qu’elle veut) que notre
corps nous appartient.
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